lundi 19 décembre 2011

Soleil Rouge

   Dans notre quête du film qu'on ne connaît pas et qu'on va continuer à découvrir, voici aujourd'hui un petit western. Bien que le western soit plus ou moins tombé en désuétude il y a de cela une bonne poignée d'années, c'est toujours jouissif de voir des hommes à la tronche minérale chevaucher à travers la poussière, une main sur le colt et l'autre tenant les rênes d'une poigne de fer (et dans le cas de John Wayne, s'en sortir sans un grain de poussière), de les regarder abattre les méchants par paquets de douze et faire triompher la loi et le bon droit (John Wayne, Roy Rogers, ...) ou leurs intérêts personnels (Clint Eastwood en est un bon exemple). Généralement, il y a toujours un héros solitaire, un méchant habillé tout de noir et d'argent, des Indiens et la cavalerie, ou des Mexicains, le tout sur une musique héroïque. Maintenant que les bases sont bien posées, amusons-nous à shooter dedans avec le western que nous allons décortiquer aujourd'hui : Soleil rouge. 


lundi 5 décembre 2011

Endiablé

   Le but de ce blog, c'est avant tout de faire davantage connaître des films que j'ai beaucoup aimés, et qui ne sont malheureusement pas assez connus du public à mon goût. (Je devrais faire un blog où je fais l'inverse, descendre en flammes des films trop populaires, on se marrerait.) Bref, aujourd'hui, je vais vous faire connaître Endiablé.


   Endiablé, Bedazzled dans la langue de Shakespeare (John-Patrick Shakespeare, import-export de ruban adhésif à Londres), qu'est-ce que c'est ? Eh bien c'est un remake d'un film sorti en 1967, dans lequel le diable pourrit la vie de pauvres hères en leur promettant la lune. Mais comme je ne l'ai pas vu, et que de toute façon, il n'a pas les avantages de celui qui nous intéresse, on va se pencher sur la version moderne. Ladite version est sortie en 2000 et est réalisée par Harold Ramis, l'immortel Egon dans SOS Fantômes et auteur des deux films du même nom, ainsi que d'Un jour sans fin, qui passeront bien un jour sur le billot (en 2037, vu la liste qui m'attend).

jeudi 1 décembre 2011

Jurassic Park

   C'est plus une affection particulière que l'urgence de faire connaître ce film au grand public qui me pousse à chroniquer ceci, et comme c'est mon blog, je fais de toute façon ce que je veux. Alors attachez vos ceintures, nous sommes en partance pour Jurassic Park !


   Tout le monde connaît Jurassic Park ou presque (ça va me faciliter la tâche), cette histoire de parc d'attractions peuplé de dinosaures recréés génétiquement, et de tout qui va à vau-l'eau. Tiré du roman du même nom par Michael Crichton, ce film a été réalisé par Steven Spielberg soi-même, faut-il encore le présenter, et est sorti en 1993. Et s'il s'est haussé au rang de classique du genre, c'est pas pour ses beaux yeux (je parle bien sûr du Tyrannosaure, mais on y reviendra).
(Musique pour accompagner la chronique disponible à la fin)

lundi 7 novembre 2011

American Beauty

   Faisant un petit break dans l'écriture de mon roman pour le National Novel Writer Month, je vous mitonne une petite chronique. Et aujourd'hui, passons sur le billard... American Beauty.


   Réalisé par Sam Mendes, qui a également réalisé les Sentiers de la Perdition et les Noces Rebelles, ce film, qu'on peut classer dans la catégorie "drame", est sorti en 1999 et raconte l'histoire de Lester Burnham, un looser, qui va un jour décider de changer complètement de vie, avec tout ce que ça entraîne.


lundi 31 octobre 2011

L'Etrange Noël de Mr Jack

   On le connaît tous, on l'a déjà vu un certain nombre de fois compris entre un et l'infini (l'infini en ce qui me concerne), on a tous déjà vu des produits dérivés un peu partout, on l'aime, et il ressort toujours pour Halloween, mais on ne s'en lasse pas, et c'est tant mieux, parce que vous êtes sur le point d'en lire ENCORE une tartine sur le sujet ! Il s'agit de l'Etrange Noël de Mr Jack (Nightmare before Christmas dans la langue de Shakespeare).


   Boys and girls of every age...

dimanche 30 octobre 2011

Flash Gordon

   Revenons un peu en arrière, quand les films de science-fiction étaient en carton-pâte, les producteurs capables d'investir dans de drôles de choses (mais ça n'a pas trop changé, ça), et la science-fiction marchait à fond. Mettons-nous dans l'esprit de 1980, imaginons-nous dans un cinéma de l'époque. Installons-nous confortablement dans notre fauteuil, éteignons les lumières, et ouvrons grand nos yeux et nos oreilles pour profiter de ce son alors encore jamais entendu...

FLASH ! AAAAAAAAAAAH ! SAVIOR OF THE UNIVERSE !!


   Cette musique, incroyablement rythmée et que vous connaissez maintenant certainement tous, annonce le festival de kitsch connu sous le nom de Flash Gordon. Un monument de visuels délirants, de n'importe quoi frénétique, que n'importe quel fan de science-fiction de l'époque se doit de connaître.

   Comment résumer cette chose en quelques mots ? Il s'agit de l'adaptation cinématographique d'un comic créé le 8 janvier 1934 par Alex Raymond. Dans lequel Flash Gordon, Dale Arden et le docteur Hans Zarkov se retrouvent impliqués dans une lutte contre le maléfique Ming, qui veut détruire la Terre. Le Bien contre le Mal. Un principe classique. Sauf que... Sauf que le pinceau utilisé pour réaliser cette magnifique fresque manichéenne n'est pas vraiment le petit pinceau délicat de Léonard de Vinci, mais plutôt la brosse industrielle qui sert à peindre des réacteurs nucléaires.

mardi 25 octobre 2011

Les Trois Mousquetaires

   Attention, attention, on s'attaque à une drôle de chose. Hier soir, titillée par une bande-annonce hallucinante et hallucinée, je me suis rendue dans mon cinéma local pour voir cette oeuvre de la littérature française repassée à la moulinette du cinéma moderne : les Trois Mousquetaires.


   Autant dire que j'en suis ressortie ravie, ce billet n'aura pas été gaspillé. Comment décrire cette création qui a dû être issue de réunions enfumées ? En quelques mots : il s'agit de l'histoire des Trois Mousquetaires, lourdement revue, corrigée, émincée, assaisonnée à la sauce clockwork punk.

mardi 11 octobre 2011

Idiocracy

   Aujourd'hui, à la demande générale d'une personne et pour changer un peu, voici une comédie ! Aujourd'hui, Wilwy  décortique pour vous : Idiocracy.


   Réalisé par Mike Judge, qui est apparu dans la série de films Spy Kids en tant que Donnagon, et a écrit, réalisé et fait des voix dans des dessins animés de Beavis et Butthead, ce film est sorti en 2006, et s'est taillé un franc succès, bien qu'il ne soit pas extrêmement connu. Un petit coup de synopsis : Idiocracy raconte l'histoire de deux personnes, qui se retrouvent dans le futur, où tous les gens sont devenus cons, et font de leur mieux pour s'en sortir.

jeudi 6 octobre 2011

Superman returns

   On se remet au travail, dans la joie la bonne humeur ! Si je regarde un film, autant le chroniquer ! (alors pourquoi ne pas avoir chroniqué les 15 autres que j'ai regardé ? Parce que je suis une feignasse !) Ainsi, mesdames, messieurs et les trolls, aujourd'hui : Superman Returns !


   Réalisé par Bryan Singer, à qui l'on doit X-Men, X-Men 2, l'excellent Usual Suspects, et qui produit la série Dr House, et sorti en 2006, il est basé sur le comic du même nom (Superman, s'entend), de Jerry Siegel et Joe Shuster, dont la publication a commencé en 1938, et est édité par DC comics qui ont plein plein de belles BD dans leur sacoche.

   Autant vous dire, traiter un sujet aussi complexe et touffu que Superman, même en collant juste un film, c'est difficile. Je vais tenter de rester aussi concise que possible, mais si je divague, faut pas m'en vouloir !

mercredi 5 octobre 2011

Youpi yah, tralalala !

J'ai atteint les 100 visites ! Youpi tralala !

Les stats montrent que Kick-Ass reste la chronique la plus lue, suivie par... le Sang des Templiers, bouh ! J'en suis pas fière...

J'ai principalement des lecteurs de France, avec l'un ou l'autre au Canada, aux Etats-Unis, à la Réunion, et en Allemagne. Je suis épatatée !

Ca mérite que je me dépasse pour PLUS DE CHRONIQUES !! PLUS !!!

Et une photo de Clint et de son cigarillo puant, tant qu'on y est !

Wiiin-wiiin-wiiiiin...

mardi 4 octobre 2011

Le Sang des Templiers

   Je suis d'attaque pour une petite nouveauté qui nous avait bien agité les neurones quand on était allés le voir. Il s'agit du Sang des Templiers, sorti cette année (Ironclad dans la langue de Shakespeare). Et cette chronique sera réalisée de mémoire, et comme c'est un peu vieux, je ne peux pas garantir le résultat. Par contre, il y a de belles photos !

Trop badass, comme affiche.

   Ce film est une collaboration anglo-américano-allemand, réalisé par Jonathan English, dont c'est le troisième film. Et dans cette drôle d'aventure, il réunit des acteurs qui, de manière amusante, ont pour beaucoup fait une apparition dans Solomon Kane, qui fera l'objet d'une chronique dès que j'aurai une motivation (un sucre fera l'affaire).

lundi 3 octobre 2011

Snatch

   Allez, j'ai la flemme mais ça fait un moment que j'ai rien du tout posté, alors en avant pour une petite chronique de feignasse. Aujourd'hui, sur le grill... Snatch !


   Un film d'un genre assez particulier, disons film de voyous complexe. Ou film d'action. Ou tout tourne autour de voyous, d'un diamant, de matchs de boxe clandestins, et d'entourloupes pas possibles. Réalisé par Guy Ritchie, qui est également coupable de Arnaques, Crimes et botanique, Revolver, Rocknrolla, et du dernier Sherlock Holmes, et qui est un réalisateur anglais qui sait faire de bons films. C'est mon avis et je le partage !

mercredi 7 septembre 2011

Hot Fuzz

   Bien motivée pour des raisons externes, je me lance dans la chronique d'un film sur lequel j'ai tellement à dire qu'il faudrait au moins trois chroniques pour tout dire : Hot Fuzz !


   Histoire de, voici le synopsis : un officier de la police de Londres ("le Service") obtient de si bons résultats dans son travail (et fait passer ses collègues pour des buses) qu'il se retrouve muté dans un patelin en région rurale. Il s'attend bien sûr à ce que ses talents soient gaspillés dans un village aussi tranquille, mais Sandford, Gloucestershire n'est peut-être pas aussi tranquille qu'on pourrait le croire...

   Ce film, que nous pouvons qualifier de film d'action / policier, étant donné que "film qui déchire sa race" n'est pas une catégorie malgré que j'aimerais bien (et c'est mon blog, j'fais c'que j'veux !), est réalisé par Edgar Wright, à qui on doit déjà Shaun of the Dead, un segment de Grindhouse, et plus tard Scott Pilgrim sur lequel je vais me jeter. Un jeune réalisateur anglais très prometteur ! (et un bogoss, mwaha)

lundi 5 septembre 2011

The Expendables

   Je suis une horrible feignasse, alors j'en profite pour recycler les quelques vieilles chroniques qui traînent à gauche et à droite. Donc voici : the Expendables. Un film d'action brutal, burné, viril, avec des muscles, des poils et des flingues !!
   Alors, qui qui qu'est responsable de ça? Sylvester Stallone! Our good Sly. Le monsieur est passé derrière la caméra une fois de plus pour la mise en scène d'un film qui n'a d'autre but que de montrer de l'action et encore de l'action.
   Détail amusant : ce film est fait par la boîte Nu Image, qui sévit méchamment sur nanarland, dans un domaine où fleurissent les entrepôts et les hangars. Et les pétards.

dimanche 4 septembre 2011

Kick-Ass

   Et voici la première chronique ! Bien sûr, elle est bourrée de spoilers, je vous conseille de ne la lire que si vous avez déjà vu le film !

   Changement un brin de style dans les films de super-héros, puisqu'il s'agit d'un film de super-héros-wannabe (plus ou moins) : Kick-Ass.


   Que dire de Kick-Ass ? Réalisé par Matthew Vaughn (qui nous a donné Stardust et X-Men : le commencement), et sorti en 2010, il est adapté du comic du même nom par Mark Millar et John Romita Jr, chez Marvel qui décidémment ont de bonnes BD dans leur sacoche.

Bienvenue !!

Bienvenue à toutes, tous et les autres sur ce blog !

Etant une grande amatrice de films bons et moins bons, et n'étant pas capable de la fermer, je me suis donc dit que j'allais en faire profiter un grand nombre sans trop me fatiguer, et poster quelques petites critiques / chroniques des films que j'ai vus, qui me permettra de les disséquer, de donner mon avis, une petite note, et de le considérer ensuite comme vérité ultime.

Malgré l'intitulé hautement Wilwy-centrique (Wilwy, c'est moi), je ne suis pas seule à mettre mon grain de sel. Il y a une certaine personne avec qui je vais souvent au cinéma, et qui me fournit matériel à discussion et coups de main pour donner des notes. Ainsi que d'autres personnes avec qui je parle de films, mes frangins qui m'aident à les gâcher quand on s'ennuie, et tous ceux que j'oublie.

Enfin, bon courage pour lire mes âneries !